Basé sur une idée de Ma Lecturothèque, cet article a pour but de citer les premières lignes d’un livre pris dans sa bibliothèque. Cela vous permet de découvrir l’univers d’un auteur et qui sait de vous donner envie de lire l’ouvrage, et de mon côté, de sortir des livres de ma PAL ou de me replonger dans des vieux livres et de les relire, qui sait? Le concept m’a fait songé au Test de la Page 99, précédemment évoqué dans un article du Baz’Art, et j’y ai immédiatement adhéré!
Pour ce cent-cinquante-et-troisième rendez-vous, publié tous les mercredis, voici quelques lignes d’un livre de ma PAL: « La première fois qu’on m’a embrassée, je suis morte » de Colleen Oakley.
À première vue, Jubilee Jenkins est une élève de CE2 ordinaire. Elle peut nommer les trois Super Nanas qui ornent son tee-shirt – et le fait sans hésiter si on lui pose la question –, et ses chaussettes sont dépareillées comme la mode semble l’imposer à l’école primaire de Griffin. Des chouchous colorés empêchent sa fine chevelure brun-roux de retomber devant ses yeux.
Tout comme beaucoup d’autres élèves de CE2 en Amérique, Jenkins souffre d’une allergie. D’après plusieurs études de l’Organisation mondiale de l’allergie, les allergies et l’asthme chez l’enfant sont en constante augmentation depuis le milieu des années 1980 – y compris les allergies alimentaires, ce qui représente un sujet d’inquiétude grandissant pour les experts.
Mais Jenkins n’est pas allergique aux arachides. Ni aux piqûres de guêpe. Ni aux poils de chat. Pas plus qu’à tous les autres allergènes communs.
Jubilee Jenkins est allergique aux autres personnes.
On ne va pas se mentir, et le titre, et les Premières Lignes de cet ouvrage sont bizarres, et c’est précisément cela qui m’a attiré vers ce livre. Collen Oakley a remporté le prix des lectrices 2019 pour ce livre, ce qui a d’autant plus attisé ma curiosité! Je compte bien poursuivre ma lecture et vite vous livrer une chronique de cet ouvrage si intriguant ^^
A bientôt!
Curieuse aussi mais je ne risque pas de le lire bientôt. Je croule déjà sous le poids de ma pile à lire.